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Quatre photos de Gérard Denneulin Cliquez sur les photos pour les agrandir. Plage Côte Sauvage
Direction et Infirmerie
Infirmerie Grand Réf Boutique
Etat de la digue
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Cette
partie du site consacrée à
LA CITE DES JEUNES ARDENNAIS20 à 30 ans après.
a été ouverte le 2 mai 2004
à 23:30
AVERTISSEMENT A NOS VISITEURS :
Suite aux évènements qui ont touché la "Cité des Jeunes Ardennais" en 1999, et aux jugements qui ont été prononcés en Juillet 2007, Consulter les articles du Journal
"L'Ardennais-L'Union" du 12/07/2007
Article 4 Article 5 les
membres de l'Amicale figurant sur ce site Web font
savoir qu'ils n'ont rien à voir avec les faits qui se sont
déroulés en 1999. Ils avaient tous quitté
l'Association bien avant de telles dérives.
La "Cité des Jeunes
Ardennais" à laquelle ils ont participé n'a de commun que
le nom.Aucune des personnes responsables,
qu'elles soient des services administratifs ou de l'encadrement
pédagogiques, mises en cause ne fait partie de notre " Amicale
de Vétérans ".
René,
Webmestre
LES
REGROUPEMENTS
DES "VETERANS" DE LA CITE Cliquez sur la date de rassemblement que vous désirez consulter.
18 JUIN 2005 ... L'APPEL AU CHAMP BERNARD L'heure du café a sonné !
Moins
nombreux qu'en 2004, ils furent une bonne trentaine à rejoindre
le champ Bernard, au-dessus de Monthermé, à se retrouver
pour re-parler du sujet qui les a -plus ou moins- longtemps fait
cogiter et agir : "LA Cité". Pas de nostalgie profonde dans
l'ensemble mais on sentait un besoin de continuer à
échanger sur les bons moments vécus à
préparer et à vivre les sessions. Quelle tablée prestigieuse ! Ce rassemblement a montré, une fois de plus, quels liens d'amitié ont lié des gens venus d'horizons divers dans un même but : offrir à des enfants ardennais la possibilité de pouvoir vivre un mois d'été en bord de mer. Des personnes nouvelles sont venues se joindre à ceux qui s'étaient déjà retrouvés en 2004. D'autres, pour de multiples raisons, n'avaient pu se déplacer ce jour-là mais avaient donné des nouvelles. Le four à pain de Champ Bernard A l'arrivée des premiers, vers 11 h 00, Jean-Pierre PENISSON était déjà là depuis un bon moment. Il avait nettoyé la place (salie par des indésirables pendant la nuit), allumé le four à pain et les barbecues* et préparé 10 kilogrammes de pâte à pain en petits pains boule. Avant que tout le monde soit là, il enfournait déjà les pains pour les cuire. Au moment de l'apéritif, tout était prêt ! * barbecue : prononcer "barbequiou". Ce mot (apparemment d'origine anglaise) serait en fait une expression française. Au Moyen Age, lorsqu'on préparait une bête pour la faire griller sur la braise, on disait qu'on l'embrochait "de la barbe au cul". L'image était belle ! Comme vous le savez, les Anglois ont guerroyé aux côtés de François fidèles à Aliénor d'Aquitaine contre d'autres François fidèles au roi de France. Les Anglois ont donc, eux aussi embroché "de la barbe au cul" mais en le prononçant à leur manière, ce qui a donné le fameux "barbecue" que l'on prononce affreusement "barbequiou". Cette explication est celle donnée
par un guide du Château de Guédelon (Yonne)
Pendant le repas, les plats ont tourné entre les participants et chacun a pu goûter la spécialité ou le vin ou le café des autres. Les discussions allaient bon train et ceux qui ne se connaissaient pas avant ces retrouvailles échangeaient leurs périodes de service à la Cité, leurs expériences réciproques, des informations familiales, des nouvelles des absents et des disparus, ... Bref, tout ce qui fait les relations amicales appelées à durer. Plantes témoins de la colonisation humaine Après les nourritures du corps, Jean-Pierre, grand spécialiste de ce coin d'Ardennes, a tenu à nourrir nos esprits et nous a emmenés visiter le site du "La Dauphiné", cet ancien village de forestiers qui commence à disparaître au sein de la végétation, victime du temps et de la nature mais surtout des hommes rapaces venus arracher à grands coups de destructions irrémédiables, pour leur profit égoïste, des lambeaux de la présence humaine dans cette région (poutres, encadrements de fenêtres, pierres d'évier, "beuquettes", ...). Jean-Pierre nous a aussi montré les traces végétales de la colonisation humaine de cette partie de la forêt. Vers 17 h 00, après une bonne petite bière et un morceau de gâteau, chacun a repris le chemin de ses occupations habituelles ou des contraintes liées au grand âge de certains : fête des écoles des petits enfants par exemple. QUEL(S) RASSEMBLEMENT(S) EN 2006 ? La question de se retrouver sur la presqu'île en 2006 (probablement un week-end de mai) a été posée et pourrait intéresser du monde. Des questions de nombre minimal pour "rentabiliser" l'opération sont tout de même à bien mettre dans nos têtes mais cela semble possible. Si vous avez envie d'envisager ce voyage, faites-moi signe par le lien courrier (en haut à gauche de cette page). Je vous tiendrai au courant des démarches entreprises. Il ne faudra pas oublier ceux qui ne pourraient venir et prévoir un autre moment ... pourquoi pas vers février, quand les nombreuses fêtes scolaires, familiales et associatives ne sont encore qu'un horizon lointain ? le 19 Juin 2005,
1er MAI 2004 .... SOUVENIRS, SOUVENIRS. Ils étaient plus de 50 à avoir répondu à l'invitation de Bernard Jeantils de se réunir "chez lui" le Samedi 1er Mai 2004 à Sedan. Ils ont replongé dans la joie des retrouvailles connue voici longtemps quand il fallait préparer les sessions à Quiberon. Chacun avait apporté quelques souvenirs : photos, cahiers, circulaires, anecdotes, ... Directeurs, adjoints, chefs de camps, animateurs même, personnels des services techniques avec leurs conjoints, tous attendaient ce moment ! Quelques-uns n'avaient pas pu venir (vacances, éloignement, ...), d'autres n'étaient pas toujours joignables (mais la liste n'est pas close !), certains, hélas !, ont disparu. Ils ont été l'objet des pensées de tous les présents. Superbe équipe pour un premier rassemblement après si longtemps ! Photo : René GODI
REPAS ET
ECHANGESAprès un apéritif convivial, un excellent repas a rassemblé tout le monde autour d'une bonne table. Les échanges ont été très riches. Café et "aqua benedicta" ont clos ces agapes. On a même entendu dire que l'on pourrait un jour aller à Quiberon ! Chiche ? Gérard a apporté des photos très récentes de la Cité et de la digue et chacun a pu constater à quel point les choses ont changé. On a aussi parlé des circonstances abominables dans lesquelles la colo, l'association et la Cité (créée en 1951 par le Père Favréaud ) ont disparu. La peine des uns et des autres reste vive. LEGITIME FIERTE Tous les présents ont constaté une chose : ils n'ont pas à rougir mais bien plutôt à s'enorgueillir de ce qu'ils ont fait, à leur époque dans ce Centre de Vacances exceptionnel dont le modèle était encore la vie de famille. Si on le veut, cet espace peut s'ouvrir aux anciens de Quiberon et à leurs souvenirs. Le Webmestre est trouvé (il s'est encore désigné tout seul !) et il attend que chacun lui apporte matière à composition. Bosséval
le 2 Mai 2004,
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